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Le complément de paiement est un tout nouveau service créé par Pluxee pour notre carte Restaurant.

Nous avons remarqué que vous êtes nombreux à vouloir vous affranchir du plafond quotidien de 25 € qui vous oblige à régler l’addition avec plusieurs moyens de paiement.

Notre carte Restaurant vous permet donc désormais de payer au-delà du plafond quotidien avec le complément de paiement. Il vous suffit d’associer votre carte bancaire à votre compte Pluxee Restaurant et le tour est joué !

Comment fonctionne le complément de paiement ?

Vous pouvez compléter vos paiements au-delà du plafond quotidien avec votre carte bancaire jusqu’à 30 euros par addition.

Vous pourrez ainsi régler jusqu’à 55 € avec votre seule carte Restaurant vos courses dans les commerces et restaurants éligibles.

Le complément de paiement fonctionne avec un minimum de 10 centimes de solde sur votre carte Restaurant. Il fonctionne exclusivement sur des produits éligibles au paiement par titre restaurant, même sur la partie financée par votre carte bancaire.

Ce montant de 30 € vous permet de garder le contrôle sur votre compte bancaire. Et en cas de doute, n’oubliez pas que vous pouvez immédiatement bloquer / débloquer votre carte Pluxee Restaurant. Personne ne pourra utiliser votre carte, ni le complément de paiement.

Le + Pluxee : Chez nous, seuls les paiements réellement effectués entrainent un prélèvement sur votre compte bancaire. Pas de prélèvement d’une somme en amont de vos paiements pour constituer de réserve de paiement.

Qui peut en profiter et pour quels achats ?

Toutes les cartes Restaurant marquées du logo “Conecs” peuvent bénéficier du complément de paiement. Ce dernier peut être utilisé pour des règlements en magasin ou au restaurant, que vous décidiez de payer avec votre carte Pluxee Restaurant ou avec votre mobile.

Comment profiter du complément de paiement avec la carte Restaurant ?

Pour avoir accès au complément de paiement avec votre Pluxee FR, quelques étapes suffisent :

  1. Accédez au menu « Carte » de votre appli Pluxee FR 
  2. Cliquez sur l’onglet “Complément de paiement” qui apparaît
  3. Entrez les informations de votre carte bancaire pour l’associer à votre compte Pluxee
  4. La procédure 3DSecure vous authentifie, comme pour un paiement en ligne avec une autorisation de paiement de 1 €, qui ne sera pas débité.

Point important :  si 2 cartes sont enregistrées sur votre compte, supprimez celle qui n’est plus active pour pouvoir activer le service.

Y’a-t-il des frais supplémentaires ?

Nous sommes heureux de vous faire profiter de ce service gratuitement !

Puis-je désactiver le complément de paiement ?

Vous êtes libre de désactiver ce service à tout moment, en supprimant simplement votre carte bancaire de votre compte Pluxee, depuis l’application Pluxee FR

Que faire si j’estime que mon compte bancaire a été débité à tort ?

En cas de doute, vous pouvez (dé)bloquer temporairement votre carte ou faire opposition :  

  • Depuis votre appli Pluxee FR : rendez-vous sur la page « Carte » et activez le switch « Blocage temporaire » pour la bloquer temporairement, ou bien cliquez sur « On m’a volé ma carte » ou « J'ai perdu ma carte » pour faire opposition et en recevoir une nouvelle. 
  • Depuis votre espace personnel : sur la page d’accueil, cliquez sur « Bloquer temporairement ma carte » pour la bloquer temporairement, ou bien sur « Faire opposition (perte/vol) » pour faire opposition et en recevoir une nouvelle. 

Face aux enjeux climatiques, les français sont prêts à modifier leurs modes de consommation et attendent des entreprises qu’elles agissent également. C’est par partage de ces convictions que nous avons souhaité nous engager et proposer à nos clients et aux utilisateurs de nos titres restaurant la première carte écoresponsable du marché.

La Pluxee carte Restaurant est écoresponsable dans son utilisation

Pour contribuer à la captation du carbone lié à l’utilisation des cartes, nous avons choisi de nous rapprocher d’Ecotree.

Via ce partenariat, nous achetons des arbres, gérés durablement par Ecotree. De leur plantation à après leur coupe, ces arbres absorbent le carbone présent dans l’air. Ils forment ainsi des “puits de carbone” qui vont séquestrer des kilos de carbone, correspondant à ceux mobilisés pour l’utilisation de nos cartes.

Pourquoi Ecotree ? Ce sont de vrais forestiers et non des financiers, dont le sérieux de la méthode est éprouvé (diversité des essences plantées, méthode de calcul de la captation carbone).  

Nos arbres sont entretenus sans pesticides ou produits chimiques, pour un partenariat bénéfique de bout en bout.

La Pluxee carte Restaurant est aussi écoresponsable dans sa conception

En effet, la carte Restaurant est désormais fabriquée en matériaux biosourcés à base d’extraits de maïs. Pour être écoresponsable jusqu’au bout, ces matériaux, à l’exception de la puce, sont biodégradable.  

Nous sommes très fiers de ces nouvelles cartes qui viendront remplacer, au fur et à mesure de leur fin de validité, les cartes en plastique actuellement sur le marché (pour lesquelles un dispositif de collecte pour recyclage existe également). Point important : ce sont nos cartes dites “hybrides” qui sont concernées.

Une écoresponsabilité que nous partageons avec vous

C’est bien entendu de notre propre engagement à prendre nos responsabilités dans la lutte contre le changement climatique qui est à l’origine de cette carte Restaurant écoresponsable.

Le bénéfice pour vous, nos clients, est que vous pouvez inscrire cette initiative dans vos objectifs environnementaux. Et vous, nos utilisateurs, pourrez prendre votre pause déjeuner en accord avec vos valeurs.

Pour compléter cette approche, le paiement mobile est déjà en place sur Pluxee Pay et Apple Pay.  

Notre prochain projet est une “carte virtuelle”, qui vous permettra de choisir d’éditer (ou pas) un support physique pour vos titre-restaurant. Au plaisir de vous en dire plus très bientôt. 

Choisir un site internet CSE offre plusieurs avantages.

Il centralise les informations, rendant l'accès aux avantages sociaux et culturels plus facile pour les salariés. Cela améliore la communication et l'engagement des employés en leur fournissant un accès direct et permanent aux activités, offres et actualités du CSE.

De plus, cela facilite la gestion des démarches administratives et la diffusion d'informations, rendant le CSE plus transparent et accessible pour tous les membres de l'entreprise.

Pour choisir un site internet pour le CSE, considérez les critères suivants :

  • Facilité d'utilisation : Le site doit être intuitif pour que tous les employés puissent naviguer facilement.
  • Fonctionnalités : Assurez-vous qu'il propose les outils nécessaires pour gérer les activités du CSE, comme les réservations, les annonces, et la distribution des avantages.
  • Sécurité : Le site doit garantir la protection des données personnelles des salariés.
  • Personnalisation : Il devrait offrir des options de personnalisation pour refléter l'identité et les valeurs du CSE.
  • Support technique : Un bon support technique est crucial pour résoudre rapidement tout problème technique.
  • Coût : Évaluez le rapport qualité-prix en fonction de votre budget et des services proposés.

La sélection doit viser à trouver une plateforme qui répond aux besoins spécifiques du CSE tout en étant économiquement viable.

Le grand public comme les entrepreneurs posent souvent des questions concernant la législation du titre restaurant. Avec la réglementation qui a évolué ces dernières années, il peut parfois être un peu compliqué de s’y retrouver. Pour y remédier, nous vous proposons un petit guide des questions qui reviennent le plus concernant les titres restaurants. Nous aborderons par exemple la validité et les règles d’utilisation de ces derniers.

La législation du titre restaurant et ses limites

L’entreprise et le salarié financent ensemble le titre restaurant. L’entreprise prend à sa charge entre 50 et 60 % de la valeur du titre, dans la limite de 7,26 € (jusqu’au 31 décembre 2025) par jour et par salarié. Le salarié finance le reste, le plus souvent par prélèvement sur son bulletin de salaire.

Pour l’entreprise, cette somme représente de façon estimative un gain du tiers de la valeur d’une augmentation de salaire comparable. En effet, l’’absence de charges patronales sur le financement du titre-restaurant permet d’en optimiser la fiscalité.

La limite quotidienne de la valeur à dépenser est de 25 €. Les salariés bénéficient d’un titre par jour travaillé et peuvent les utiliser jusqu’au 31 janvier qui suit l’année de validité.

Ce type de mesure est particulièrement intéressante, notamment pour les personnes qui n’utilisent par leurs titres tous les jours, ou bien celles qui se déplacent beaucoup et ne peuvent utiliser leur titres restaurant à l’étranger.

L’évolution du support : des nouveautés sur la législation du titre restaurant

Deux formats de titres restos existent depuis 2014 :

  • Des chèques restaurant format papier ; le plus connu et le plus usuel.
  • Une carte rechargeable qui fonctionne de la même manière qu’une carte bancaire. Ces cartes appliquent les différentes limitations propres aux chèques restaurant, comme le plafond quotidien. Une façon de s’assurer du respect des règles d’utilisation des titres restaurant.

La législation en vigueur s’applique de la même façon pour les deux supports.

Le principe du titre restaurant personnel

Pour respecter la loi à l’origine de la création des titres restaurant, il est interdit d’en faire bénéficier des tiers. En effet, les titres-restaurant sont nominatifs et ne doivent être utilisés que pendant les jours ouvrables (sauf cas spécifiques, par exemple si vous travaillez le dimanche ou les jours fériés).

En effet, les titres restaurant sont destinés à assurer un repas aux salariés pendant leur journée de travail.

La législation du titre restaurant fixe également la manière dont il peut être utilisé. Il s’utilise exclusivement dans des restaurants, commerces de bouche ou en grandes surfaces. Dans ce cas, il ne peut servir à régler que les plats directement consommable (plats cuisinés, fruits, produits laitiers, etc…). 

Un élément important à noter : les limitations concernant les produits achetables en grande surface sont fixés par la Commission Nationale des Titres Restaurant. L’étiquetage des produits étant fait magasin par magasin, il peut exister des variations dans les produits payables par titres resto d’une boutique à l’autre.

Le CSE peut communiquer avec les salariés de plusieurs manières efficaces :

  • Site internet du CSE : Un site dédié permet de partager informations, actualités et avantages sociaux.
  • Réunions régulières : Organiser des réunions permet d’échanger directement avec les salariés et de discuter des sujets importants.
  • Bulletins d’information : Envoyer des newsletters périodiques pour informer les salariés des dernières activités et décisions.
  • Affichage : Utiliser les panneaux d’affichage dans les locaux pour communiquer les informations importantes et les événements à venir.
  • Réseaux sociaux et applications mobiles : Créer des groupes sur les réseaux sociaux ou des applications dédiées pour faciliter la communication instantanée.
  • Boîte à idées : Mettre en place une boîte à idées pour encourager les suggestions des salariés et montrer que leur avis compte.

Une communication claire et régulière renforce la relation entre le CSE et les salariés, favorisant un environnement de travail positif.

Les formations obligatoires pour le Comité Social et Économique (CSE) varient en fonction de la taille de l'entreprise. Toutefois, les formations obligatoires pour le CSE comprennent :

  • La formation en santé et sécurité au travail (SSCT) : cette formation requise pour tous les membres du CSE - peu importe l'effectif de l'entreprise - vise à sensibiliser aux risques professionnels et à améliorer les conditions de travail.
  • La formation économique et juridique : cette formation - obligatoire uniquement pour les membres de CSE d'entreprises de plus de 50 salariés - couvre des aspects comme la comptabilité, la gestion du budget du CSE, et les règles juridiques régissant le fonctionnement du CSE. Cette formation offre aux élus une compréhension approfondie des aspects économiques et juridiques de l'entreprise.
  • Les formations facultatives : elles peuvent être mises en place selon les besoins spécifiques des équipes (sensibilisation au rôle de trésorier, gestion de projet, communication, etc.). Ces formations visent à renforcer les compétences des membres du CSE et à améliorer leur efficacité dans leurs fonctions de représentation et de gestion au sein de l'entreprise.

La formation SSCT (Santé, Sécurité et Conditions de Travail), est obligatoire pour tous les membres du CSE.

Elle initie les participants aux méthodes de prévention des risques et à l'amélioration des conditions de travail, avec pour objectif principal d'aider les élus à repérer les risques professionnels et à proposer des actions de prévention.

Chaque organisme de formation CSE va adapter le programme de la formation au contexte spécifique des entreprises (taille, activité et branche professionnelle). Toutefois, les grands thèmes abordés par tous les organisme de formation CSE incluent :

  • Rôle et le fonctionnement du CSE
  • Partenaires du CSE en matière de SSCT
  • Moyens d’action du CSE
  • Santé et la sécurité au travail
  • Maladies professionnelles et accidents du travail
  • Pénibilité au travail
  • Traitement du handicap et de l’inaptitude au travail
  • Prévention des risques professionnels
  • Missions SSCT du CSE

Tous les membres de la délégation du personnel du Comité Social et Économique (CSE) ont droit à la formation CSE. Cela comprend :

  • Les membres titulaires : les élus titulaires du CSE, qui participent activement aux réunions et décisions du comité.
  • Les membres suppléants : les élus suppléants du CSE, qui remplacent les titulaires en cas d'absence et participent parfois aux réunions en fonction des règles de l'entreprise.
  • Les membres de la Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT) : dans les entreprises de plus de 300 salariés, les membres de la CSSCT, lorsqu'elle est distincte du CSE, ont également droit à une formation spécifique.
  • Le référent en charge de la lutte contre le harcèlement et le sexisme : désigné parmi les membres du CSE, il a droit à une formation spécifique sur ces sujets.

Ces formations CSE sont essentielles pour permettre aux membres du comité de remplir efficacement leurs missions de représentation des salariés, de prévention des risques professionnels, et de gestion des conditions de travail.

Notre plateforme d'animation commerciale peut être entièrement personnalisée pour refléter l'identité visuelle de votre entreprise, en intégrant votre charte graphique. Elle est accessible via l'URL de votre choix, offrant ainsi une expérience parfaitement alignée avec votre marque.

De plus, nous offrons une flexibilité maximale en matière de fonctionnalités. Nous proposons une gamme étendue de modules adaptés à vos besoins spécifiques, et nous sommes également en mesure de développer des solutions sur mesure pour répondre à des exigences particulières. Ainsi, vous pouvez bénéficier d'une plateforme entièrement personnalisée, conçue pour correspondre parfaitement à vos objectifs et à votre vision commerciale.

Le bénéficiaire reçoit une dotation utilisable avec son compte, soit en créditant un e-chèque, soit en étant directement crédité par notre équipe.

Il peut ensuite convertir cette allocation en diverses options telles que des bons d'achat, des chèques-cadeaux TirGroupé ou des cartes-cadeaux multi-enseignes Spirit of Cadeau. Avec un accès à plus de 2 000 enseignes en ligne et en magasin, il a le choix selon ses envies.

De plus, il a la possibilité de sélectionner des cadeaux physiques parmi une sélection de plus de 10 000 références, comprenant des produits électroménagers, des articles high-tech, des livres, des jeux, et bien plus encore.

Les chèques culture fournis par le CSE aux salariés sont entièrement exonérés de cotisations et contributions sociales, à condition qu'ils aient pour unique but de faciliter l'accès des bénéficiaires à des activités ou prestations culturelles.

Ainsi, contrairement aux chèques cadeaux, il n'y a pas de limite de montant pour les chèques culturels offerts aux salariés et, leur distribution ne se limitent pas aux occasions spécifiées par l'URSSAF pour les chèques cadeaux.

Les chèques culture, similaires aux chèques cadeaux, mais dédiés aux biens et services culturels, sont distribués par l'employeur ou le CSE.

Ils permettent l'achat de produits tels que des livres, des CD, ou des billets pour des événements culturels.

Les chèques culture sont utilisables en ligne : ils peuvent être employés pour réserver des places de spectacle en entrant un code spécifique. Ils peuvent également être utilisés en magasin, auquel cas un QR code est scanné au moment de l'achat. Cette flexibilité d'utilisation encourage l'accès à une variété d'activités culturelles, enrichissant l'expérience des bénéficiaires.

La participation du CSE aux voyages et vacances des salariés est totalement exonérée de charges et cela sans limite de montant. Toutefois, il est nécessaire que les versements soient justifiés par les dépenses des salariés en lien avec leurs vacances.

Il est donc recommandé de distribuer un avantage vacances permettant l'accès exclusif à des produits et des services liés aux voyages et aux vacances, comme le propose Pluxee à travers la subvention vacances CSE.

Le chèque culture et la billetterie servent tous les deux à proposer un accès à prix préférentiel à des offres culturelles aux bénéficiaires.

D’un côté, les chèques culture bénéficient d’une exonération de charges sociales et peuvent se cumuler avec des chèques cadeaux. De l’autre, la billetterie est un service subventionnable. Le Comité social et économique attribue un montant par bénéficiaire sur les billets. Ces subventions sont exonérées de charges sociales et ne possèdent pas de plafond par salarié et par an.

Quand il s’agit de prendre son repas, pas question de plaisanter. Ainsi, nombre d’entreprises sont confrontées à LA grande question : quelles sont les obligations de l’employeur, quand il s’agit des repas pris dans les locaux ? Faisons ensemble le tour de la question.

Quelles sont les obligations employeurs ?

Le Code du Travail (article R 4228-19) précise que, pour des raisons de sécurité et d’hygiène, les salariés n’ont pas le droit de consommer leur repas sur leur poste de travail. Ce point a été provisoirement mis de côté jusqu’au 30 avril 2022, pour aider au respect des règles sanitaires et des gestes barrière. Le sandwich face à son écran est donc totalement proscrit. Mais à l’heure où les entreprises reprennent leur rythme, libérées des protocoles, où et comment déjeuner ?

Les obligations de l’employeur sont les suivantes concernant le repas :

L’employeur a l’obligation de mettre à disposition un local de restauration dès que le seuil de 50 salariés par établissement est atteint. L’entreprise est dès lors tenue de mettre à leur disposition un local de restauration avec tables, chaises, électroménager et source d’eau.

Dans les entreprises de moins de 50 salariés, l’employeur doit aménager un emplacement dans ses locaux, à distance des postes de travail mais aussi activités, des substances et outils dangereux.

Les différentes solutions pour le déjeuner des salariés : financement titre restaurant, local aménagé, restaurant d’entreprise

En préambule, il est important de préciser que l’attribution de titres-restaurant ne se substitue pas à l’obligation de mettre à disposition un local de restauration affecté.

Toutefois, depuis 1964 des motifs précis permettant d’octroyer les titres restaurant en lieu et place d’un local affecté sous 3 conditions :

  • l’aménagement d’un espace dédié à la restauration est difficile voire impossible,
  • les salariés acceptent de bénéficier des titres-restaurant
  • des restaurants ou commerçants acceptant les titres à proximité des locaux.

Les titres restaurant sont donc une solution peu coûteuse, souple et adaptée aux nouveaux modes de travail.

La mise en place d’un restaurant d’entreprise peut sembler réservé aux plus grandes entreprises. Toutefois il est possible de partager les coûts grâce à un restaurant inter-entreprise. D’autres solutions sont à envisager comme, par exemple, les corners de restauration ou les frigos connectés qui permettent de manger rapidement à n’importe quelle heure de la journée !

Enfin, il est possible de mettre en place une solution qui permet de profiter de l’ensemble de ces dispositifs, en une seule carte !

Convivialité et bien-être social

L’une des préoccupations actuelles des entreprises, afin de fidéliser leurs collaborateurs et les aider à s’adapter au travail hybride, est le lien social entre collègues. Le déjeuner entre collègues est dès lors un moment privilégié, au même titre que les « pauses café » qui permettent d’échanger de façon informelle et de renforcer le sentiment d’appartenance et la culture d’entreprise.

Si cet aspect n’est pas une obligation légale de l’employeur, il n’en reste pas moins un levier important pour éviter les effets de « grande démission », à un moment où les recrutements sont toujours plus difficiles.

La pause déjeuner ne se résume donc pas aux obligations de l’entreprise. Même s’il est évidemment incontournable pour l’employeur de mettre en place les solutions qui conviennent le mieux à ses conditions spécifiques, il ne faut pas oublier l’impact direct du repas sur la QVT et l’engagement des collaborateurs !

Le choix de la billetterie pour votre CSE est une décision importante. Voici quelques points à prendre en considération lors de votre réflexion :

  • Variété des offres : Optez pour une billetterie qui propose une large gamme d'offres, couvrant divers secteurs tels que les cinémas, les parcs d'attractions, les concerts, les événements sportifs, etc. Cela permettra de répondre aux intérêts variés des bénéficiaires.
  • Réductions attractives : Recherchez une billetterie qui offre des réductions significatives sur les prix des billets, afin de garantir des avantages réels pour vos bénéficiaires.
  • Partenariats avec des grandes enseignes : Assurez-vous que la billetterie dispose de partenariats solides avec de grandes enseignes dans différents domaines, ce qui garantira l'accès à un large éventail d'activités pour vos bénéficiaires.
  • Facilité d'utilisation : Choisissez une plateforme conviviale et intuitive, avec un processus de commande simple et rapide. Une interface utilisateur bien conçue facilitera l'expérience d'achat pour les membres du CSE.
  • Support client : Optez pour une billetterie qui offre un bon service client, disponible pour répondre aux questions et résoudre les problèmes éventuels des membres du CSE.

Si vous hésitez, sachez que la billetterie CSE en ligne de Glady vous propose un catalogue riche et des réductions CSE exclusives qui sauront satisfaire vos bénéficiaires !

La carte cadeau multi-enseignes Glady est valable sur internet (via un code cadeau) ou en magasin / boutique (paiement en bons d'achats ou avec une carte multi-enseignes en France).

Notre carte cadeau multi-enseignes offre donc une totale liberté aux bénéficiaires ! Faites profiter d'un vaste réseau comprenant plus de 2 000 enseignes ! Ils peuvent ainsi se faire plaisir dans l'enseigne de leur choix.

Les cartes cadeaux peuvent être distribuées par différents acteurs selon le contexte :Le Comité Social et Économique (CSE) peut les offrir lors des 11 événements définis par l'URSSAF, tels que Noël adulte ou enfant, la rentrée scolaire, etc.

Les entreprises peuvent également les distribuer via leurs départements commerciaux, marketing ou ressources humaines. La distribution peut alors cibler les salariés ou les clients, que ce soit pour des challenges, des cadeaux clients ou d'autres opérations promotionnelles.

La réglementation sur les chèques cadeaux en entreprise est stricte. Tous les salariés, quel que soit leur type de contrat (CDD, CDI, temps partiel), ont droit aux chèques cadeaux.

La loi interdit de baser l'attribution des chèques cadeaux sur la catégorie socio-professionnelle, le salaire, ou le contrat. De même, l'âge, le sexe, la religion ou l'origine ne doivent pas influencer cette attribution

Discriminer dans la distribution des chèques cadeaux peut entraîner des sanctions de l'URSSAF, incluant la réintégration des montants dans les cotisations sociales de l'entreprise.